Que serait Besançon, sans sa boucle, sans sa citadelle, ses quais, ses remparts, ses rues piétonnes, son pont battant, ses faubourgs, ses bistrots et sans Momo et sa guitare ?!
En duo, trio ou en solo, Mo’ Blues c’est un rempart à lui tout seul de la culture « bœuf », et c’est enfin une citadelle érigée à la gloire du blues et des standards les plus efficaces, ceux qu’on connaît à peu près tous par cœur et qu’on apprécie tous, même si on ne se l’avoue pas forcément. Il aurait même paraît-il réussi à faire chanter du Johnny et du Bob à un métaleux étriqué lors de quelques soirées passablement arrosées.